L’Aveyronnaise des Eaux gère le réseau d’eau potable depuis Baraqueville

publié le 20 janvier 2023 Toutes les actualités

On pourrait s’y méprendre mais le lieu où l’Aveyronnaise des Eaux a bâti son siège ne se trouve pas dans le giron de la  commune de Baraqueville mais  bien sur celle de Manhac. Toutefois, compte tenu que la Zone du Puech 2 sur lequel il a été implanté est située dans le bourg, cette entreprise méritait bien une petite présentation dans la rubrique “baraquevilloise”.

Les abonnés au Syndicat de l’Eau Potable du Ségala et du Levezou avaient pour habitude de voir les agents de la Sogedo s’affairer à rechercher des fuites ou à relever les compteurs mais, au début de l’année 2022, c’est l’Aveyronnaise des Eaux qui a obtenu le marché de la gestion du réseau et qui lui a succédé. Cette nouvelle entreprise a été spécialement créée pour le gestion du réseau d’eau potable par Gilles Gineste, Gaël Rouquette et Manuel Valentin. Ce dernier qui en a pris la direction. Le marché acquis, il leur fallut très vite trouver un local et celui jusqu’alors loué par la Sogedo ne répondant pas à leur besoin, la décision a été prise d’acquérir un terrain sur la zone pour y implanter provisoirement des Algécos. Une situation de courte durée puisque très rapidement, les travaux du bâtiment actuel ont commencé. Ils se sont déroulés au pas de course  pour en arriver à son inauguration en décembre dernier. L’entreprise compte plusieurs pieds à terre sur l’immense secteur qu’elle couvre. Il s’étend des Costes Gozon à Cordes sur Ciel compte environ 30 000 abonnés, mais pour Manuel Valentin, la décision d’installer son siège  à Baraqueville était évidente pour plusieurs raisons : la centralité sur l’espace géographique à couvrir, la proximité avec le syndicat souverain. Avec 22 employés, l’Aveyronnaise des Eaux s’illustre par sa taille atypique pour ce genre de mission. Elle n’a rien de comparable avec les gros mastodontes concurrents, ce qui lui vaut une image de proximité qui transparaît à la fois dans son nom et dans son logo.